À l’âge de 18 ans, j’ai été séduit par la street coiffure.
Un monde loin des podiums et des mannequins de magazines. C’était un domaine où je pouvais exprimer ma créativité sans contraintes, et c’est là que la relation entre la coiffure et la photographie a pris tout son sens. Inspiré par l’héritage familial de mon papa photographe et de mon oncle coiffeur, j’ai commencé à capturer mes premières créations en utilisant des polaroids.
Ces instantanés capillaires étaient un exercice différent, offrant un regard authentique sur la beauté éphémère des coiffures. Ainsi, la fusion entre la coiffure et la photographie était amorcée, et cette passion pour l’art capillaire et l’art visuel ne cesse de grandir depuis lors.